A la vie, à la mort a nos actes manqués a tous les cris, jamais, que l'on a étouffés. a cette rage sourde que tu n'entends jamais a tous ces ponts coupés, aux chemins ravagés par des manques et des peurs. aux relations perdues a celles regrettées. a vous tous qui fuyez au lieu de relever le défi du pardon, de la reconstruction ! a ces heure
nabelle
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05/05/2013
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Littérature, BD & Poésie
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Ça vient, simple nuage, léger, à l'horizon petit rien tout joli. un truc blanc et coton qui n'augur' rien de mal. juste un point dans le vide et le vide se crée. il gagne du terrain. une faille béante, blessur' sur terre aride tornade silencieus', un vertige soudain. il étend son sillage, grignote mes amares mes doigts frêles lachent prises
Marcher cent fois marcher sans toi relier mes pas, tu n'y es pas. me retourner encor' une fois tu n'y es pas. non, toujours pas. croire, espérer, ne jamais renoncer. croire et rêver et tout recommencer. refaire encor' le scénario toujours le même, encore une fois : parmi les foules, les visages ; anonymat de millions d'âmes ; tu m'aperçois, m
... et puis je m'aperçois qu'au-delà de tout ça, malgré les mots qui manquent et puis tous ceux qui blessent, malgré les maladresses et malgré les absences; au-delà des silences, des incompréhensions, au-delà de nos peurs et de nos frustrations il y a ce désir plus incompréhensible, ce quelque-chose de fou et ce brin de magie qui font qu
Et si tout s'effondrait ; si tout devenait flou ; si tu devenais fou et que je te reniais. et si tout doit mourir, si tout doit disparaître ; dévalisé le temps où les rires fusaient, où l'on rêvait des jours qui viendraient à paraître ; et si tout s'arrêtait dans une heure ou après... qu'aurais-je fait du temps qui m'a été confié ? aur
Voilà ce qui nous a été dit : "nous sommes en guerre mais il n'y a pas d'armée". j'ai beau y réfléchir, cela manque de sens pour moi. est ce vraiment possible ? quelque-chose me chiffonne dans cette idée... moi je vois une armee !! ne les voyez-vous pas comme moi tous ces soldats au front ? vous pensez que je vais faire mention des médecins
Heures sombres et nues des nuits interminables face à des murs friables et je me crois vaincue a hurler sans rien dire souriant malgré tout quitte à creuser mon trou je vois ma vie partir putain de démons angoissants et sans nom ! ombres invisibles. tu déchires, tu recolles et tournes en rond ; chaînes invicibles qui te clouent sous ta croix.
Et si tout arrivait comme écrit sur les feuilles du temps et de la vie ; sur une partition ; si tout est orchestré en temps, au diapason pour nous mener au mieux, à la vie qu'on accueille... si sourire à la vie permet qu'elle nous sourit ; si ouvrir grand les bras et ouvrir mon cœur plutôt que de douter, obéir à la peur, me permet de grandi
J'inventerais des mots dont je n'aurais pas peur... ils seraient si légers, si transparents aussi, que je ne craindrais plus d'oser enfin me dire. ils frôleraient les sens sans blessure et sans heurts. si j'étais enfin libre, je rirais aux éclats je n'aurais plus la peur de me perdre en osant. dire et murmurer chuchoter et prier m'assoupir et r
Je la vois sur la brêche , aveugle et funambule, pas vacillant, tremblant, elle ne doute de rien; inconsciente elle sourit sans penser à demain. sa peau reflets d’argent sous ce rayon de lune, sa prière secrète se délie en ce lieu : elle est prête, elle accueille la vie et le bon dieu. une larme s’étire, symbole de bonheur, sur ce visage